LISCHKA.LI

Cinematography

Auteur/autrice : user

  • Lessons from AWS Innovate 2025 in Geneva: AI, Serverless, and Problem-Driven Innovation

    Lessons from AWS Innovate 2025 in Geneva: AI, Serverless, and Problem-Driven Innovation

    Tout juste de retour de l’AWS Innovate 2025 à Genève et d’événements parallèles pour entrepreneurs à Genève et Lausanne, je suis galvanisé par les perspectives sur la manière dont les entreprises peuvent tirer parti de l’IA, des architectures serverless et d’une approche centrée sur les problèmes pour prospérer en 2025. Des plongées techniques approfondies aux pitchs de startups, un message clair a émergé : l’innovation ne consiste pas seulement à adopter des technologies de pointe, mais à résoudre des problèmes réels de manière efficace et à s’adapter au changement avec intention.

    1. Solutions serverless : Libérez du temps pour l’essentiel

    Imaginez rediriger 75 % de vos ressources vers le développement de votre cœur de métier plutôt que vers la maintenance d’infrastructures. Stephan Hadinger, directeur de la technologie chez AWS, a partagé une statistique frappante : les entreprises technologiques typiques consacrent 70 % de leurs efforts à simplement « maintenir les lumières allumées ». Les solutions serverless comme AWS Lambda renversent cette équation. En facturant uniquement les millisecondes d’exécution de votre code et en s’adaptant automatiquement à la demande, Lambda libère les entreprises pour qu’elles se concentrent sur ce qui compte vraiment. Boris Flesch l’a confirmé à Lausanne. En évitant le fardeau de la construction et de la gestion de serveurs, son équipe a pu se focaliser sur son cœur de métier, favorisant une plus grande efficacité et innovation.

    Hadinger a mis en avant un exemple concret : Bonque Edel a réduit ses coûts de serveurs de 10 000 $/mois à seulement 2 $ en passant au serverless, un changement radical pour les startups, les marketeurs ou les designers qui souhaitent privilégier la création de valeur plutôt que la gestion technique. Cela fait écho à un point plus large soulevé par Hadinger sur les contraintes héritées. Tout comme la largeur de 144 cm des chars romains a influencé les voies ferrées et même les propulseurs de la navette spatiale 2 000 ans plus tard, des choix informatiques obsolètes, comme s’accrocher aux bases de données Oracle, peuvent limiter le progrès aujourd’hui. Le serverless offre une voie pour se libérer de ces contraintes.

    2. Partir des problèmes, pas des solutions

    Un événement de pitch à Lausanne a mis en lumière une leçon puissante : ne commencez pas par un produit, commencez par un point de douleur. Cohen l’a dit sans détour : « Résolvez un problème, et vous avez une entreprise. » Anthony Baschenis, architecte de solutions chez AWS, a renforcé cette idée, notant que même de petites efficacités, comme réduire une tâche quotidienne de 6 minutes à 3, peuvent donner naissance à une entreprise viable. Cette mentalité axée sur les problèmes s’applique à toutes les industries. Dans les RH, les outils d’IA réduisent les biais de recrutement et optimisent la sélection des candidats. Pour les marketeurs, l’automatisation de l’analyse des données libère du temps pour des campagnes créatives.

    Le rapport 2025 sur les tendances de l’IA de Morgan Stanley le souligne : les modèles de raisonnement IA permettent des recommandations contextuelles, optimisant tout, du support client à la planification stratégique. En se concentrant sur les véritables points de douleur, les entreprises peuvent exploiter l’IA pour apporter une valeur mesurable.

    3. IA multi-modale agentique : La prochaine frontière

    AWS Innovate a mis en lumière le potentiel transformateur de l’IA multi-modale agentique, où les systèmes combinent des entrées diverses — comme le texte, les images ou la vidéo — avec la capacité d’agir de manière autonome au-delà de leurs propres limites. Jordi Porta et Jerome Bachelet ont souligné que la véritable puissance réside dans les modèles qui intègrent la multi-modalité avec des capacités agentiques. Amazon Bedrock, par exemple, unifie l’accès à plus de 170 modèles, permettant aux agents de s’adapter aux conditions changeantes et d’exécuter des flux de travail complexes.

    Prenons l’exemple d’Amazon Q, un expert métier alimenté par des plugins agentiques. Lors d’une démonstration, Q a analysé un CV par rapport à une description de poste, évalué les candidats et suggéré des questions d’entretien. Avec un plugin Salesforce, il a créé des dossiers directement à partir de requêtes. Par ailleurs, Amazon Nova Act a démontré une navigation agentique, parcourant le site d’Amazon pour ajouter des articles au panier, tandis que Nova Sonic a permis des interactions vocales avec des capacités similaires. Ces outils illustrent comment les agents multi-modaux peuvent interroger des données, agir en conséquence et fournir des résultats là où les utilisateurs travaillent déjà, comme sur Slack ou des plateformes e-commerce.

    Pour les entreprises, cela signifie résoudre des problèmes avec une flexibilité sans précédent. Un agent orchestral sur Bedrock, par exemple, peut coordonner des plans de voyage en équilibrant les préférences personnelles (par exemple, une fille végétarienne) et les besoins professionnels (par exemple, vols et hôtels), générant un plan sur mesure. C’est l’IA en tant que partenaire proactif, pas seulement un outil.

    4. La disruption exige un engagement envers le changement

    La devise de Nexthink — « disrupter, réinventer, transformer » — capture l’essence de l’innovation. Pivoter ne signifie pas abandonner des idées ; il s’agit d’évoluer avec engagement et une communication claire. Leur conseil ? Construisez là où les utilisateurs sont déjà, comme avec des intégrations Slack plutôt que des interfaces complexes, et traitez votre modèle économique comme un prototype vivant. Pour les entrepreneurs, cela signifie rester natif du cloud pour éviter les fardeaux d’infrastructure et se concentrer sur les problèmes des clients. Comme Nexthink l’a souligné, « l’IA est là pour rester — utilisez-la pour tout ce que vous faites. »

    Cela rejoint les idées d’Assad de Pictet Asset Management, qui a décrit l’utilisation de l’IA pour rationaliser la recherche d’investissement et les comparaisons de contrats, et l’accent mis par David Bloch sur des stratégies de données modernes pour accélérer la valeur commerciale. La disruption exige de la flexibilité et une volonté d’adaptation.

    Perspectives pour 2026

    Alors que l’IA devient la « nouvelle électricité », les entreprises en 2026 devront pleinement adopter les architectures natives du cloud et l’IA agentique pour rester compétitives. Les solutions serverless comme AWS Lambda démocratiseront davantage l’innovation, permettant même aux petites équipes de se développer sans les fardeaux d’infrastructure. Les agents multi-modaux, comme ceux alimentés par Amazon Bedrock, évolueront pour gérer des tâches de plus en plus complexes — pensez à orchestrer des flux de travail entiers, de l’optimisation de la chaîne d’approvisionnement à des expériences client personnalisées, avec une intervention humaine minimale. La mentalité axée sur les problèmes restera cruciale : les entreprises qui identifient et résolvent des points de douleur de niche, même minimes, se tailleront des marchés défendables. Comme le suggère le parcours de pivot de Nexthink, la flexibilité et une conception centrée sur l’utilisateur définiront le succès, avec des outils alimentés par l’IA intégrés là où les utilisateurs travaillent déjà, comme Slack ou les CRMs. D’ici 2026, les entreprises qui traiteront l’IA comme un partenaire proactif — plutôt qu’un simple outil — mèneront la charge pour redéfinir les industries.

    Quatre points d’action

    Les leçons de Genève se résument à poser de meilleures questions et à agir de manière décisive. Voici comment avancer :

    1. Adoptez le serverless pour réduire les coûts et vous concentrer sur la croissance.
    2. Résolvez de vrais problèmes, même petits — le raisonnement IA le rend évolutif.
    3. Exploitez l’IA multi-modale agentique pour agir sur les données et fournir des solutions là où les utilisateurs sont.
    4. Engagez-vous dans le changement, en traitant l’IA comme la nouvelle électricité pour alimenter chaque aspect de votre entreprise.

    Comme l’a dit le Dr Andrew Ng, « l’IA est la nouvelle électricité ». En 2025, il ne s’agit pas seulement d’adopter l’IA, mais de l’utiliser pour résoudre des problèmes, agir intelligemment et transformer notre façon de travailler.

    — Ramon Lischka

  • Purpose-Aligned Agile Video Marketing Workflow

    Purpose-Aligned Agile Video Marketing Workflow

    Flux de travail agile de marketing vidéo aligné sur un objectif

    Le « Flux de travail agile de marketing vidéo aligné sur un objectif » est un processus structuré et collaboratif qui intègre l’objectif axé sur la mission d’une entreprise avec des insights centrés sur le client, un travail d’équipe interfonctionnel et une production vidéo rapide basée sur les données. Il met l’accent sur l’agilité, la technologie et une prise de décision simplifiée pour créer efficacement du contenu vidéo percutant, tout en gérant les ressources et les risques. Ce flux de travail garantit que les équipes marketing et les producteurs vidéo livrent des vidéos destinées aux clients qui résonnent avec les audiences, atteignent des objectifs mesurables et s’adaptent au fil du temps.

    Le nom s’inspire de « The Ultimate Marketing Machine » (HBR, 2014) par Marc de Swaan Arons, Frank van den Driest et Keith Weed—mettant en avant le « Marketing axé sur un objectif » (alignement sur la mission), « l’Agilité et la Rapidité » (exécution rapide), et la vidéo comme outil clé. « Flux de travail » reflète sa conception actionable et étape par étape pour la production vidéo. source

    Pourquoi utiliser cette stratégie ?

    Alignement avec l’objectif

    Garantit que les vidéos reflètent la mission fondamentale de l’entreprise, renforçant l’authenticité et la confiance avec les audiences.

    Focus sur le client

    Utilise les données pour cibler les bons spectateurs avec un contenu qui les intéresse, augmentant l’engagement.

    Efficacité

    Combine agilité et décisions simplifiées pour livrer rapidement des vidéos de haute qualité, optimisant temps et ressources.

    Collaboration

    Intègre les équipes marketing, production et autres pour un résultat cohérent qui soutient des objectifs plus larges.

    Adaptabilité

    Utilise des tests, des retours et une planification des risques pour maintenir un contenu pertinent et résilient dans un marché en rapide évolution.

    Évolutivité

    Repose sur la technologie et les leçons apprises pour rationaliser les processus, le rendant répétable et améliorable avec le temps.

    À qui s’adresse-t-il ?

    Pour les entreprises qui valorisent un objectif (pour se différencier), ont besoin de rapidité (pour concurrencer), et s’appuient sur la vidéo (pour engager). Il convient moins aux industries à évolution lente ou sans mission claire ni focus digital, mais excelle pour les organisations dynamiques et tournées vers leur audience.

    Entreprises de biens de consommation

    Les marques avec une mission forte—comme la durabilité—peuvent créer des vidéos qui renforcent leurs valeurs et connectent émotionnellement avec les clients.

    Startups technologiques

    Les entreprises en croissance rapide avec des ressources limitées peuvent produire des vidéos rapides et intelligentes pour suivre les changements du marché.

    Entreprises de commerce électronique

    Les vendeurs en ligne peuvent créer des vidéos centrées sur le client pour présenter leurs produits et stimuler les ventes efficacement.

    Marques de consommation axées sur le numérique

    Les entreprises très présentes sur les réseaux sociaux—comme la mode ou le fitness—peuvent produire des vidéos rapides et adaptées aux plateformes pour rester pertinentes.

    Grandes entreprises avec plusieurs équipes

    Les grandes organisations peuvent aligner les équipes marketing, ventes et autres pour un contenu vidéo cohérent et impactant.

    Agences créatives

    Les agences peuvent livrer des vidéos sur mesure et efficaces pour divers clients, équilibrant créativité et stratégie.

    Étape 1 : S’aligner sur l’objectif

    • Objectif : Définir l’objectif de la vidéo en lien avec la mission de l’entreprise.
    • Équipe marketing :
      • Partager la mission et les objectifs (par ex., « Promouvoir la durabilité avec cette vidéo »).
      • Définir le résultat souhaité (par ex., « Renforcer la notoriété de la marque »).
    • Producteur vidéo :
      • Poser des questions clarificatrices (par ex., « Quel est le message central ? »).
      • Rédiger une déclaration d’objectif (par ex., « Inspirer des choix durables »).
    • Ensemble : Se mettre d’accord sur l’objectif comme point de référence principal.
    • Temps : 1 à 2 heures (réunion de lancement).
    • Outils : Brief client, déclaration de mission, Zoom.

    Étape 2 : Comprendre le public

    • Objectif : Identifier le public cible et ses besoins.
    • Équipe marketing :
      • Fournir des données sur le public (par ex., « Jeunes spectateurs éco-conscients »).
      • Noter les comportements clés (par ex., « Ils préfèrent les contenus courts »).
    • Producteur vidéo :
      • Examiner les données et demander des précisions (par ex., « Qu’est-ce qui les motive ? »).
      • Créer un persona de spectateur (par ex., « Jeune adulte éco-responsable »).
    • Ensemble : Confirmer le persona et les besoins à cibler.
    • Temps : 2 à 4 heures.
    • Outils : Analyses, insights des réseaux sociaux, recherches client.

    Étape 3 : Recueillir les contributions interfonctionnelles

    • Objectif : Aligner la vidéo sur les objectifs globaux de l’entreprise.
    • Équipe marketing :
      • Obtenir des contributions d’autres équipes (par ex., « Les ventes veulent mettre en avant une fonctionnalité clé »).
      • Les transmettre au producteur.
    • Producteur vidéo :
      • Suggérer comment intégrer les contributions (par ex., « Je mettrai cette fonctionnalité en avant »).
      • Soulever des préoccupations (par ex., « Est-ce que cela va changer le ton ? »).
    • Ensemble : Se mettre d’accord sur les éléments essentiels à inclure.
    • Temps : 1 à 3 heures (réunion ou échanges par e-mails).
    • Outils : Slack, tableaux de projet, notes d’équipe.

    Étape 4 : Brainstorming et conceptualisation rapide

    • Objectif : Développer rapidement une idée approximative de vidéo.
    • Équipe marketing :
      • Donner une direction créative (par ex., « Rendez-la dynamique »).
      • Fixer une échéance rapide (par ex., « Concept d’ici demain »).
    • Producteur vidéo :
      • Rédiger un storyboard ou un plan (par ex., « Histoire client de 30 secondes »).
      • Partager pour obtenir des retours.
    • Ensemble : Affiner le concept en une seule itération.
    • Temps : 4 à 6 heures.
    • Outils : Outils de croquis, Google Docs, papier.

    Étape 5 : Planifier avec des données, la technologie et les ressources

    • Objectif : Façonner la vidéo avec des données et la technologie, en tenant compte du budget.
    • Équipe marketing :
      • Partager les données des vidéos précédentes (par ex., « Les clips courts fonctionnent mieux »).
      • Définir les plateformes et les limites budgétaires (par ex., « 5 000 $ maximum »).
    • Producteur vidéo :
      • Ajuster en fonction des données (par ex., « Coupe de 15 secondes »).
      • Proposer une technologie rentable (par ex., « Images d’archives au lieu d’un tournage »).
    • Ensemble : Finaliser le format, l’approche et le plan de ressources.
    • Temps : 2 à 3 heures.
    • Outils : Analyses, logiciels de montage, feuille de budget.

    Étape 6 : Constituer l’équipe

    • Objectif : Assembler une équipe efficace et légère dans les limites du budget.
    • Équipe marketing :
      • Définir les besoins (par ex., « Script et visuels ») et les ressources (par ex., « Utiliser notre éditeur »).
      • Approuver la taille de l’équipe et les coûts.
    • Producteur vidéo :
      • Assigner les rôles (par ex., « Je dirige, ils filment »).
      • Identifier les lacunes (par ex., « Besoin d’un freelance ? »).
    • Ensemble : Finaliser l’équipe en restant rentable.
    • Temps : 1 à 2 heures.
    • Outils : Email, contacts, suivi budgétaire.

    Étape 7 : Produire une vidéo test

    • Objectif : Créer un brouillon pour tester.
    • Équipe marketing :
      • Choisir le public test (par ex., « Abonnés sur les réseaux sociaux »).
      • Définir les métriques initiales (par ex., « La moitié doit la regarder jusqu’au bout »).
    • Producteur vidéo :
      • Filmer et monter une version rapide (par ex., « Teaser de 15 secondes »).
      • Livrer pour les tests.
    • Ensemble : Réviser et approuver pour le test.
    • Temps : 1 à 2 jours.
    • Outils : Caméra, logiciel de montage basique, partage de fichiers.

    Étape 8 : Tester, affiner et réduire les risques

    • Objectif : Améliorer la vidéo et prévoir les imprévus.
    • Équipe marketing :
      • Tester la vidéo (par ex., « Publier en ligne, suivre les vues »).
      • Partager les retours (par ex., « Le client veut un rythme plus rapide »).
    • Producteur vidéo :
      • Analyser les résultats (par ex., « Couper la partie lente »).
      • Planifier des solutions de secours (par ex., « Tournage supplémentaire si refusé »).
    • Ensemble : S’accorder sur les changements et un plan de gestion des risques (par ex., « Temps de montage supplémentaire si nécessaire »).
    • Temps : 1 à 2 jours (test + affinage).
    • Outils : Plateformes sociales, formulaires de retour, outils de montage.

    Étape 9 : Finaliser la vidéo

    • Objectif : Produire la vidéo finale sans accroc.
    • Équipe marketing :
      • Approuver le concept (par ex., « Bien—juste ajuster le rythme »).
      • Fournir des retours rapides (un seul tour).
    • Producteur vidéo :
      • Filmer et monter la version finale (par ex., « 60 secondes, soignée »).
      • Appliquer les changements et finaliser.
    • Ensemble : Valider la version finale.
    • Temps : 2 à 5 jours.
    • Outils : Équipement professionnel, logiciel de montage, guides de marque.

    Étape 10 : Lancer, mesurer et itérer

    • Objectif : Diffuser, évaluer et améliorer en fonction des résultats.
    • Équipe marketing :
      • Lancer la vidéo (par ex., « Publier sur les réseaux sociaux, site web »).
      • Suivre les KPI (par ex., « 10 % d’engagement, 5 000 vues »).
    • Producteur vidéo :
      • Fournir les fichiers dans tous les formats (par ex., « MP4, vertical »).
      • Proposer des ajustements (par ex., « Plus d’appels à l’action la prochaine fois »).
    • Ensemble : Examiner les performances et planifier les itérations (par ex., « Version 2 avec des coupes plus rapides »).
    • Temps : 1 à 2 heures (lancement), analyse continue.
    • Outils : Plateformes d’hébergement, outils d’analyse, email.

  • Core AI Applications in Media Production

    Core AI Applications in Media Production and Staying at the Forefront of AI-Driven Media Production

    Artificial intelligence (AI) is changing how we make videos, photos, music, and more, opening up exciting possibilities for creators everywhere. Whether you’re a filmmaker, a musician, or just someone curious about technology, AI tools can help bring your ideas to life faster and with stunning results. From turning simple text into vivid videos to crafting original soundtracks, these tools are becoming a big part of modern media production. But with all this innovation comes a mix of opportunities and challenges—like figuring out which tools work best and understanding the legal side of using them.

    This guide takes you through the latest AI tools for media creation, covering everything from video and photo editing to music and 3D design. We’ll look at popular options like Sora, RunwayML, and Suno, as well as free, open-source alternatives you can run yourself. Plus, we’ll dive into the practical and legal stuff you need to know, especially if you’re creating for clients or big projects. It’s all about giving you a clear picture of what’s out there and how to use it, no matter where you’re starting from or where you’re based—whether that’s the US, Switzerland, Norway, Japan, or beyond.


    Computational Strategies for Narrative and Visual Synthesis in Video Production

    AI-driven video production leverages sophisticated algorithms to synthesize and manipulate content with unparalleled efficiency. We delineate a taxonomy of tools and their applications, optimized for technical practitioners:

    • Proprietary Ecosystems:
      • Sora (OpenAI)
        A generative neural network producing photorealistic video sequences (20 seconds, 1080p) from textual prompts, featuring iterative refinement capabilities (“Remix,” “Re-cut”)
        • Replace, remove, or re-imagine elements in videos with Remix
        • Organize and edit a sequence of videos on a timeline
        • Trim down and create seamless repeating videos with Loop
        • Combine two videos into one seamless clip
        • Use and create preset styles
      • RunwayML
        Powered by the Gen-3 Alpha architecture, this platform excels in text-to-video generation, lip synchronization, and frame extrapolation
        • Product Shot Animation: 3D renders for e-commerce with GPU.
        • Expressive Characters: Emotive avatars via neural networks.
        • Repurpose Footage: Transform old video for modern use.
        • B-Roll: Instant ancillary visuals generation.
        • Green Screen: Auto chroma-key with edge detection.
        • Landscape Flythrough: Aerial simulation with ray-tracing.
        • Generate Visual Effects: Particles & light via shaders.
        • Fire, Smoke, Fluid Simulation: Physics-based solvers.
        • Special Effects: Volumetric explosions and more.
        • Hair and Fur Simulation: Real-time dynamics with texture.
        • Animals: Plausible models via procedural generation.
        • Character Rendering: High-res synthesis with mapping.
        • Anime: Stylized art via convolutional transfer.
        • Fluid Simulations: Advanced SPH techniques.
        • Surreal Metamorphosis: Abstract shifts via GANs.
        • Fabric Simulation: Cloth physics with analysis.
        • Rotating 3D Model Visualization: Multi-view displays.
      • LTX Studio, developed by Lightricks, is an AI-driven filmmaking platform designed for creators, marketers, filmmakers, and studios. It aims to streamline the production process from ideation to final edits, making advanced storytelling tools accessible to users of all levels.
        • Promo Video Maker: Automated promotional content synthesis with frame-rate optimization.
        • Animation Generator AI: Prompt-driven animation via transformer architectures.
        • Movie Trailer Generator: Cinematic preview creation with temporal coherence.
        • Movie Pitch Deck Generator: Visual proposal automation with vector graphics.
        • AI Ad Generator: Advertisement optimization with real-time rendering.
        • Cartoon Video Maker: Cartoon-style sequences via 2D-to-3D extrapolation.
        • Music Video Maker: Audio-visual synchronization with FFT-based analysis.
        • AI Storyboard Generator: Narrative visualization.
        • AI Movie Maker: End-to-end production orchestration with pipeline scripting.
    • Open-Source Frameworks
      • Hugging Face
      • GitHub
      • ComfyUI

    Photo Production: AI-Driven Visual Optimization

    AI methodologies enhance photographic synthesis with computational scalability:

    • Proprietary Systems
      • Adobe Firefly: Generates high-fidelity images with commercial safety, leveraging cloud-based tensor operations.
      • Topaz Photo AI: Employs super-resolution via deep convolutional networks for archival restoration and print preparation.
      • LTX Studio: Augments visual assets within its video pipeline, optimized for GPU acceleration.
    • Open-Source Frameworks
      • Hugging Face
      • GitHub
      • ComfyUI
    • Advanced Techniques
      • Inpainting via masked diffusion; Outpainting for spatial extrapolation; Upscaling with GAN-based interpolation; Depth Estimation via monocular depth networks; Reference Style for stylistic coherence using CLIP embeddings.

    Text Production: AI-Augmented Narrative Synthesis

    AI accelerates textual synthesis with high semantic fidelity:

    • Proprietary Systems:
      • GPT-4: Produces coherent text for scripts and copy via transformer architectures, accessible via Python APIs.
      • Jasper AI: Generates SEO-optimized content with cloud-based inference.
      • LTX Studio: Processes script inputs for storyboard and video synthesis, scriptable via Python.
    • Open-Source Frameworks:
      • Hugging Face: GPT-NeoX and BLOOM for customizable text generation (Python: transformers), DistilBERT for summarization, deployable with torch on Arch.
      • GitHub: Fine-tuned GPT-2 models for brand-specific outputs, trainable with custom datasets using huggingface_hub.
    • Advanced Techniques: Embeddings for semantic asset management via sentence-transformers; LoRA for efficient model adaptation with minimal resource overhead.

    Audio Production: AI-Enhanced Sonic Engineering

    AI refines audio synthesis with precision, including commercially viable music models:

    • Proprietary Systems:
      • Suno: Synthesizes songs from text prompts (e.g., “upbeat pop for a commercial”), with Pro/Premier plans offering commercial rights, though US copyright remains contested.
      • AIVA: Generates compositions with full ownership under the Pro Plan, ideal for cinematic applications, accessible via Python wrappers.
      • Soundraw.io: Produces customizable tracks with commercial licenses, scalable via API integration.
      • Descript: Enables voice cloning and editing with real-time processing.
      • Stable_Audio: Synthesizes music and effects via diffusion models.
      • LTX Studio: Integrates voiceovers and sound effects with Python-scriptable workflows.
    • Open-Source Frameworks:
      • Hugging Face: Whisper for transcription (Python: transformers), Bark for synthetic voiceovers, optimized for Arch with libsndfile.
      • GitHub: Spleeter for source separation (Python: tensorflow), WaveNet for speech synthesis, deployable with cudnn.
    • Advanced Techniques: Kokoro for stylized audio outputs (hypothesized as an audio tool).

    3D and Emerging Frontiers

    AI extends into 3D synthesis and advanced modeling, with capabilities enhanced by tools like Blender:

    • 3D Systems:
      • Hunyuan3D: Generates 3D models from 2D/text via Python APIs.
      • Stable_Zero123: Facilitates zero-shot 3D creation with diffusion-based inference.
      • LTX Studio: Supports 3D visualization with scriptable integration.
      • Blender Integration: Depth map synthesis in Blender (installable via pacman -S blender) can be paired with AI tools like Stable Diffusion and ControlNet. Python scripts (bpy) enable scene construction, depth pass rendering, and export as grayscale images for AI-driven enhancement (e.g., via ControlNet’s “Depth” model), streamlining 3D content generation.
    • Advanced Models:
      • SD3.5: Features edge detection and depth modalities via PyTorch.
      • SDXL: Incorporates refiner and turbo modes, optimized for Arch with cuda-git.

    Commercial Deployment

    Applicable to game assets, VR content, and product visualization, executable with Python and Blender on Arch Linux.


    Practical and Legal Considerations for Commercial Deployment

    We are not lawyers; this explanation and the guide offer no legal advice. The recommendation reflects technical observations and industry trends, urging you to seek qualified legal professionals for authoritative guidance tailored to your project and jurisdiction.

    Practical Considerations

    • Quality Assurance: Iterative refinement via Python scripts ensures professional-grade outputs, optimized for GPU acceleration on Arch.
    • Licensing Framework: Compliance with tool-specific licenses is critical (e.g., Sora’s ambiguities, Suno’s plan-specific rights).
    • Open-Source Optimization: Self-hosted models offer cost-efficacy and customization, deployable with yay on Arch.
    • LTX Studio Efficiency: Provides rapid, scriptable solutions for narrative workflows.

    Legal Considerations and Jurisprudential Analysis

    AI tool deployment entails legal scrutiny, analyzed as of March 28, 2025:

    How to Read AI Model Terms of Use

    AI models’ terms of service can be tricky to navigate, especially for commercial use, but here’s how to read them effectively. Start by looking for sections on “Ownership of Output” to see if you own what the AI creates—like images, videos, or music. Many terms will say you own the results, giving you the green light to use them as you wish. Next, check “Commercial Use” to ensure you can use the service for business purposes; this might require a paid plan or special permission in some cases. Also, look for any restrictions, like rules against using the output in certain ways, such as creating harmful content or competing products.
    While you might own the output and use it commercially, some terms limit how you can use the service itself—like offering it as part of an app—without extra approval. Always read the full terms, as they can change over time, and for big projects, consider legal help to be safe.

    • Find Ownership Clauses
      Look for phrases like “you own the output” to confirm your rights over what’s created.
    • Check Commercial Use
      See if the service allows business use, often tied to specific plans or conditions.
    • Note Restrictions
      Watch for limits, like bans on using outputs in ways that might compete with the tool itself.

    Practical Example

    « Flux, in the description of their output, states that everything you create has a commercial license. However, there is a problem – there is an additional clause stating that their outputs cannot be used for training other AI models. » Anon

    Best Practices

    Term Validation: Use Python scripts to parse terms (e.g., beautifulsoup4).

    Context

    In the guide, we’re addressing the legal considerations of using AI tools like Sora, RunwayML, LTX Studio, Suno, and others for commercial video production. Each tool comes with its own terms of service or licensing agreements that dictate how its outputs can be used, especially for commercial purposes (e.g., whether you can monetize the content, what rights you have over the generated material, and any restrictions). These terms can be complex, lengthy, and subject to change, making manual review inefficient—especially for a technically adept audience that values automation and precision.

    What « Term Validation » Means

    « Term Validation » refers to the process of systematically checking and confirming that your usage of an AI tool complies with its current terms of service or licensing agreement. This is critical because:

    • Non-compliance could lead to legal risks (e.g., copyright disputes, loss of commercial rights).
    • Terms can evolve (e.g., due to lawsuit outcomes like those against Suno or OpenAI), requiring ongoing vigilance.
    • For commercial deployment, you need assurance that your workflow adheres to the tool’s legal boundaries.

    Rather than manually reading through each tool’s ToS, « term validation » implies an automated, repeatable process to extract, analyze, and monitor these terms—a task well-suited for Python coders and Arch Linux users who thrive on scripting and system-level control.

    Why Python Scripts?

    Python is a versatile, widely-used language among developers, data scientists, and AI practitioners. It’s particularly appealing to the target audience because:

    • It’s open-source and natively supported on Arch Linux (installed via pacman -S python).
    • It offers powerful libraries for web scraping, text parsing, and automation—key for handling ToS documents, which are often hosted as web pages or HTML files.
    • It aligns with the audience’s preference for programmatic solutions over manual processes, reflecting their high-income, efficiency-driven mindset.

    Using Python scripts automates the labor-intensive task of reviewing legal terms, making it scalable across multiple tools and repeatable as terms update.

    Why beautifulsoup4?

    beautifulsoup4 (often shortened to BeautifulSoup) is a specific Python library recommended here as an example tool for parsing terms of service. Here’s why it’s highlighted:

    • Functionality: BeautifulSoup excels at parsing HTML and XML documents, which is ideal because most ToS are published as web pages (e.g., Suno’s Terms of Service, RunwayML’s Terms of Use).
    • Ease of Use: It allows you to extract specific sections (e.g., “Commercial Use,” “Licensing,” “Restrictions”) with minimal code, using CSS selectors or tag navigation.
    • Integration: It pairs seamlessly with Python’s requests library to fetch web content, enabling a fully automated workflow on Arch Linux.

    For example, you might use it to scrape and analyze a tool’s ToS to check for phrases like “commercial use permitted” or “user owns output,” ensuring your project aligns with legal constraints.

    Practical Example

    Here’s what this might look like in practice:

    1. Fetch the ToS: Use requests to download the webpage containing the terms.
    2. Parse the Content: Use beautifulsoup4 to extract relevant sections.
    3. Analyze: Search for key terms or conditions using Python string methods or regex.

    A simplified Python script:

    import requests
    from bs4 import BeautifulSoup
    
    # URL of a tool’s terms of service (e.g., Suno)
    url = "https://suno.com/terms"
    response = requests.get(url)
    soup = BeautifulSoup(response.content, "html.parser")
    
    # Extract all paragraph text
    paragraphs = soup.find_all("p")
    for p in paragraphs:
        text = p.get_text().lower()
        if "commercial use" in text or "licensing" in text:
            print(f"Found relevant term: {text}")

    This script, run on an Arch Linux system (e.g., via python script.py), could be scheduled with cron to periodically check for updates, ensuring you’re always compliant with the latest terms.

    Litigation Tracking: Monitor via Arch’s cron and curl.

    Context

    The guide addresses the legal landscape of AI tools used for commercial video production, highlighting lawsuits like the RIAA’s case against Suno (June 2024) or the GitHub Copilot lawsuit (2022). These legal actions can impact the tools’ terms of service, commercial use rights, or even their availability—critical factors for a video producer deploying AI outputs in professional projects. Manually tracking these lawsuits (e.g., searching news sites or legal databases) is inefficient and prone to oversight, especially for a technically savvy audience that prefers automation and system-level control. « Litigation Tracking » offers a programmatic solution to stay updated, leveraging tools native to Arch Linux.

    What « Litigation Tracking » Means

    « Litigation Tracking » refers to the process of systematically monitoring updates related to lawsuits against AI tools to ensure you’re aware of changes that might affect your workflow or legal compliance. This is important because:

    • Lawsuit outcomes can alter licensing (e.g., Suno’s commercial use rights might be restricted if the RIAA prevails).
    • New rulings can set precedents impacting AI-generated content ownership (e.g., US copyright debates).
    • Staying informed mitigates risks of using tools that might face operational or legal disruptions.

    Instead of relying on sporadic manual checks, « litigation tracking » implies an automated, scheduled process to gather and process lawsuit-related information—a task perfectly suited for Arch Linux’s lightweight, customizable environment and the audience’s technical expertise.

    Why Arch’s cron?

    cron is a time-based job scheduler in Unix-like systems, including Arch Linux, that allows you to automate tasks by running scripts or commands at specified intervals. It’s a core tool in Arch (no additional installation needed, managed via crontab), making it ideal for this audience because:

    • Automation: It eliminates the need for manual monitoring, aligning with the efficiency-driven mindset of high-income nerds.
    • Lightweight: As a built-in utility, it fits Arch’s minimalist philosophy, avoiding unnecessary dependencies.
    • Flexibility: You can schedule checks hourly, daily, or weekly, tailoring it to your needs.

    For example, cron could run a script every day to fetch lawsuit updates, ensuring you’re never blindsided by legal developments.

    Why curl?

    curl is a command-line tool for transferring data over various protocols (e.g., HTTP), pre-installed on Arch Linux. It’s recommended here because:

    • Web Data Retrieval: Lawsuit updates are often published on news sites, legal blogs, or court databases (e.g., Reuters, The Verge), accessible via URLs. curl can fetch this content efficiently.
    • Scripting Power: It integrates seamlessly with shell scripts or Python, allowing you to pull raw HTML or JSON data for processing.
    • Minimalism: Like cron, it’s a lightweight, native tool, resonating with Arch users who prioritize system efficiency.

    For instance, curl could download a news feed or scrape a legal update page, which you could then parse or log for review.

    Practical Example

    Here’s how this might work in practice on an Arch Linux system:

    1. Write a Script
      Create a shell script (e.g., track_lawsuits.sh) to fetch updates
    #!/bin/bash
    # Fetch lawsuit updates from a news source
    curl -s "https://www.reuters.com/legal/litigation/music-ai-startups-suno-udio-slam-record-label-lawsuits-court-filings-2024-08-01/" > /path/to/lawsuit_updates.html
    # Optional: Grep for keywords like "Suno" or "lawsuit"
    grep -i "lawsuit\|suno" /path/to/lawsuit_updates.html >> /path/to/lawsuit_log.txt

    2. Schedule with cron
    Edit the crontab to run this daily at midnight

    crontab -e
    # Add: 0 0 * * * /path/to/track_lawsuits.sh

    3. Monitor Output
    Check /path/to/lawsuit_log.txt periodically or pipe it to a Python script for advanced analysis (e.g., using beautifulsoup4 to parse HTML).

    Legal Expertise: Engage for high-value projects, given US copyright debates (OpenAI’s Sora & the Role of the US Copyright Office).

    Disclaimer

    We are not lawyers; this explanation and the guide offer no legal advice. The recommendation reflects technical observations and industry trends, urging you to seek qualified legal professionals for authoritative guidance tailored to your project and jurisdiction.

    Context

    The guide addresses the legal complexities of using AI tools commercially, spotlighting lawsuits (e.g., RIAA vs. Suno, GitHub Copilot case) and copyright uncertainties that could affect your ability to monetize or protect AI-generated outputs. For a video producer, this is critical in « high-value projects »—major endeavors like advertising campaigns, films, or corporate branding with significant financial, strategic, or reputational stakes. The recommendation mitigates these risks by suggesting expert consultation, tailored to an audience valuing precision but not necessarily equipped with legal acumen.

    What « Legal Expertise » Means

    « Legal Expertise » refers to engaging professionals—such as intellectual property (IP) lawyers or technology law specialists—who can:

    • Interpret tool-specific terms of service (ToS) and licensing agreements.
    • Assess lawsuit implications (e.g., Suno’s copyright case) on your project.
    • Navigate copyright laws across jurisdictions where your work is produced or distributed.

    This isn’t about self-directed legal research but outsourcing to experts for nuanced judgment beyond what automation (e.g., Python scripts) can achieve. Disclaimer: We are not lawyers, and this guidance does not constitute legal advice; it’s a strategic suggestion based on technical and industry observations, urging you to seek qualified counsel when needed.

    Why « Engage for High-Value Projects »?

    « High-value projects » denote endeavors with substantial stakes—e.g., a $100,000 ad campaign, a feature film with distribution deals, or a branded series for a major client. These amplify legal risks because:

    • Financial Exposure: A copyright dispute could trigger costly settlements or revenue loss.
    • IP Ownership: Clarity on owning AI outputs is vital for monetization or exclusivity.
    • Reputational Risk: Legal missteps could erode client trust or professional standing.

    For low-stakes projects (e.g., personal videos), legal fees might outweigh benefits, but high-value projects justify the investment, appealing to the audience’s high-income, risk-averse mindset—they’d rather secure a big win than face uncertainty.

    Why « Given US Copyright Debates »?

    The US copyright context is pivotal due to its influence and ongoing debates, but we’ll extend this to Switzerland, Norway, and Japan for a global perspective:

    • United States: The US Copyright Office often denies protection for AI-generated works lacking significant human input, rooted in the human authorship requirement (OpenAI’s Sora & the Role of the US Copyright Office). For Sora outputs, you might not own the copyright, risking infringement or reuse by others. Lawsuits (e.g., against OpenAI) test these boundaries, making the US a key jurisdiction for projects targeting its market.
    • Switzerland: Swiss copyright law (CopA) offers more flexibility—works created with AI assistance may be protected if human creativity is evident, but pure AI outputs are less clear. The Swiss Federal Institute of Intellectual Property (IPI) hasn’t fully clarified this, so for high-value projects, a lawyer can assess your contribution (e.g., editing Sora outputs) to secure rights, especially for exports to the EU or US.
    • Norway: Norwegian copyright law (Copyright Act) similarly ties protection to human authorship, but the Norwegian Industrial Property Office (NIPO) has no explicit stance on AI outputs. Given Norway’s EEA ties, EU precedents (e.g., database rights) might apply, complicating cross-border projects. Legal expertise ensures compliance, particularly for media distributed in Scandinavia or beyond.
    • Japan: Japan’s Copyright Act protects works with human creative expression, but a 2018 amendment hints at potential protection for AI-assisted works if human intent guides the process. The Agency for Cultural Affairs is exploring this, making Japan relatively progressive. However, for global distribution (e.g., to the US), a lawyer can align your use of tools like Suno with varying standards.

    These debates matter because many AI tools (e.g., Sora, Suno) are US-based, and high-value projects often target multiple markets, requiring jurisdiction-specific strategies. Our disclaimer reiterates: we’re not lawyers—consulting experts ensures accurate interpretation across these contexts.

    Practical Example

    Consider a $500,000 commercial using Sora and Suno:

    • Without Legal Expertise: You assume Sora’s outputs are yours and Suno’s Pro Plan covers the soundtrack. A US ruling denies Sora copyright, or Suno’s lawsuit restricts usage, jeopardizing your project. Swiss, Norwegian, or Japanese laws might offer partial protection, but cross-border inconsistencies arise.
    • With Legal Expertise: You engage a lawyer who:
      1. Advises human edits to Sora outputs (e.g., via ffmpeg on Arch) to claim copyright in the US, Switzerland, or Norway.
      2. Monitors Suno’s lawsuit, suggesting AIVA as a backup if risks escalate, aligning with Japan’s progressive stance.
      3. Drafts contracts securing ownership across jurisdictions, protecting your investment.

    This costs but safeguards a high-stakes project, a calculated move for the audience’s strategic mindset.

  • Understanding AI Model Quantization on Arch Linux

    Understanding AI Model Quantization on Arch Linux

    Les modèles d’IA, notamment les réseaux neuronaux profonds, exigent souvent des ressources computationnelles et une mémoire importantes, les rendant peu pratiques pour les appareils en périphérie ou les systèmes légers. La quantization réduit la précision des poids et des activations des modèles — par exemple, de flottants 32 bits (FP32) à des entiers 8 bits (INT8) — en échangeant une légère perte de précision pour plus de vitesse et d’efficacité. Sur Arch Linux, avec ses outils à la pointe, vous pouvez expérimenter diverses techniques de quantization pour optimiser les modèles. Ce guide présente les concepts de base et les méthodes courantes de quantization, adaptés à un environnement Arch.

    Prérequis

    Vous aurez besoin d’un système Arch Linux fonctionnel, de connaissances de base en Python, et d’une familiarité avec des frameworks d’IA comme PyTorch ou TensorFlow. Un modèle pré-entraîné (par exemple, un modèle de vision PyTorch) est utile pour les tests. Un accès au terminal et un espace disque suffisant pour les dépendances sont présumés.

    Configuration de l’Environnement

    Installez Python et PyTorch, un framework populaire avec un support intégré pour la quantization, ainsi que pip pour les paquets supplémentaires.

    sudo pacman -S python python-pip python-pytorch

    Vérifiez l’installation de PyTorch en consultant sa version dans Python.

    python -c "import torch; print(torch.__version__)"

    Pour le support GPU, installez pytorch-cuda si vous avez une carte NVIDIA et CUDA configuré.

    sudo pacman -S python-pytorch-cuda

    Comprendre les Bases de la Quantization

    La quantization réduit la largeur de bits des nombres dans un modèle. Les modèles en pleine précision utilisent généralement des flottants 32 bits (FP32) pour les poids et les activations. Les modèles quantifiés peuvent utiliser des flottants 16 bits (FP16), des entiers 8 bits (INT8), voire moins, réduisant la taille du modèle et accélérant l’inférence. Trois approches principales existent : la quantization post-entraînement (PTQ), l’entraînement conscient de la quantization (QAT), et la quantization dynamique.

    Quantization Post-Entraînement (PTQ)

    La PTQ applique la quantization après l’entraînement, convertissant un modèle FP32 pré-entraîné en une précision inférieure comme INT8. C’est simple et ne nécessite pas de réentraînement, mais la précision peut légèrement diminuer. Testez-la avec un script PyTorch utilisant un modèle ResNet18 pré-entraîné.

    import torch
    from torch.quantization import quantize_dynamic
    model = torch.hub.load('pytorch/vision', 'resnet18', pretrained=True)
    model.eval()
    quantized_model = quantize_dynamic(model, {torch.nn.Linear}, dtype=torch.qint8)
    torch.save(quantized_model.state_dict(), 'resnet18_ptq.pth')
    

    Cela quantifie dynamiquement les couches linéaires en INT8. Exécutez-le et comparez la taille du modèle.

    ls -lh resnet18.pth resnet18_ptq.pth

    Entraînement Conscient de la Quantization (QAT)

    La QAT simule la quantization pendant l’entraînement, permettant au modèle de s’adapter à une précision réduite. Plus complexe, elle préserve mieux la précision que la PTQ. Voici un exemple minimal de QAT avec une étape de fausse quantization.

    import torch
    import torch.nn as nn
    from torch.quantization import prepare, convert
    model = torch.hub.load('pytorch/vision', 'resnet18', pretrained=True)
    model.train()
    qconfig = torch.quantization.get_default_qat_qconfig('fbgemm')
    model.qconfig = qconfig
    prepare(model, inplace=True)
    # Simuler une boucle d’entraînement (non montrée)
    model.eval()
    quantized_model = convert(model)
    torch.save(quantized_model.state_dict(), 'resnet18_qat.pth')
    

    Insérez une boucle d’entraînement avec vos données avant la conversion. La QAT produit souvent des modèles plus petits et rapides avec moins de perte de précision.

    Quantization Dynamique

    La quantization dynamique quantifie les poids statiquement mais calcule les activations dynamiquement à l’exécution. Légère, elle convient aux modèles avec des opérations linéaires lourdes. L’exemple PTQ ci-dessus utilise cette méthode — notez la spécification {torch.nn.Linear}.

    Comparer les Effets de la Quantization

    Évaluez la taille et la vitesse d’inférence après quantization. Chargez les modèles original et quantifié, puis mesurez le temps d’une inférence exemple.

    import torch
    import time
    model = torch.hub.load('pytorch/vision', 'resnet18', pretrained=True)
    model.eval()
    quantized_model = torch.load('resnet18_ptq.pth')
    input = torch.randn(1, 3, 224, 224)
    start = time.time()
    model(input)
    print(f"FP32: {time.time() - start:.3f}s")
    start = time.time()
    quantized_model(input)
    print(f"INT8: {time.time() - start:.3f}s")
    

    Des tailles réduites (par ex., ~40 Mo à ~10 Mo) et une inférence plus rapide (souvent 2-3x) sont typiques, bien que la précision nécessite une validation avec votre jeu de test.

    Dépannage

    Si la quantization échoue, assurez-vous que PyTorch prend en charge les couches`couchespour les couches personnalisées peuvent ne pas être quantifiées). Vérifiez les erreurs de dépassement avec INT8 — la QAT peut aider. Pour les problèmes GPU, confirmez la compatibilité CUDA ou revenez au CPU.

    python -c "import torch; print(torch.cuda.is_available())"

    La quantization sur Arch Linux vous permet d’alléger les modèles d’IA pour le déploiement, équilibrant efficacité et précision avec des outils fraîchement issus des dépôts.

  • Photography Backup System on Arch Linux via SSH

    Photography Backup System on Arch Linux via SSH

    Photographers rely on raw files and edited images as their lifeblood, making off-site backups essential. On Arch Linux, rsync over SSH paired with cron offers a secure, automated solution to mirror your photo library to a remote server. This guide configures a photography backup system optimized for large files, leveraging Arch’s lightweight tools and SSH’s robust security to protect your work.

    Prerequisites

    A remote server with SSH access and ample storage is required, along with basic terminal skills. Your photo collection—likely in ~/Photos or similar—should be ready to sync. Both local and remote systems need rsync; the remote server must also support SSH.

    Installing Core Tools

    Install rsync for file transfers, openssh for secure communication, and cronie for scheduling on your Arch system.

    sudo pacman -S rsync openssh cronie

    Activate cron to enable automated tasks.

    sudo systemctl enable crond
    sudo systemctl start crond

    Securing SSH Access

    For secure backups, set up SSH key authentication. Generate a key pair and transfer the public key to the remote server. Use a strong passphrase for added protection.

    ssh-keygen -t ed25519 -C "photo-backup"
    ssh-copy-id -i ~/.ssh/id_ed25519.pub user@remote-server

    Verify seamless access and lock down SSH by disabling password logins on the remote server’s /etc/ssh/sshd_config (set PasswordAuthentication no and restart sshd).

    ssh user@remote-server

    Prepare a remote directory, such as /backup/photos, with appropriate permissions.

    ssh user@remote-server 'mkdir -p /backup/photos && chmod 700 /backup/photos'

    Writing the Backup Script

    Create a script to sync your photo directory to the remote server, optimized for large raw files. This uses rsync’s compression and incremental transfers to save bandwidth.

    #!/bin/bash
    # photo_backup.sh
    SOURCE="$HOME/Photos/"
    DEST="user@remote-server:/backup/photos/"
    rsync -avzh --progress --delete -e "ssh -i $HOME/.ssh/id_ed25519" "$SOURCE" "$DEST"
    

    Save as ~/photo_backup.sh, make it executable, and test it. The -z flag compresses data, ideal for raw files, while –delete ensures the remote reflects the source.

    chmod +x ~/photo_backup.sh
    ~/photo_backup.sh

    Automating with Cron

    Schedule nightly backups at 1 AM by editing your crontab, logging results for monitoring.

    crontab -e

    Insert this line.

    0 1 * * * /home/user/photo_backup.sh > /home/user/photo_backup.log 2>&1

    Check cron’s status to ensure it’s operational.

    systemctl status crond

    Validating the Backup

    Confirm the backup’s integrity by comparing file counts or sizes.

    find ~/Photos/ -type f | wc -l
    ssh user@remote-server 'find /backup/photos/ -type f | wc -l'

    Simulate a sync to spot discrepancies without changes.

    rsync -avzh --dry-run --delete -e "ssh -i $HOME/.ssh/id_ed25519" ~/Photos/ user@remote-server:/backup/photos/

    Troubleshooting

    If transfers fail, review the log for rsync or SSH errors (e.g., key rejection). Test connectivity and permissions.

    cat ~/photo_backup.log
    ssh -v user@remote-server

    Monitor remote storage and adjust as your collection grows. This setup delivers a secure, efficient backup system for photographers on Arch Linux.

  • Fashion Model Switzerland Claudia

  • Fashion Collection Photography and Interview

    Elena Newla

    Yesterday’s Light

    Follow Elena

  • SME Store Opening Event Dübendorf

    Production vidéo et photographie pour l’inauguration d’un nouveau centre de fitness à Zurich.

    Mitarbeiterportraits

    Die Mitarbeiter finden Gefallen an den Portraits

    Breakdance

    Gruppenfitness

    Crossfit & Kraftsport

    Marathon / Tower Run

    Abendprogramm

  • Meine Schweiz – Meine Heimat

    Meine Schweiz – Meine Heimat

  • Challenge Davos After Movie

    :Querformat & Hochformat:
  • Corporate Explainer Video

    Eklärvidoes können markengerecht sofort umgesetzt und in kürzester Zeit abgeschlossen werden.

  • Wedding Lake Constance

    Mit meiner Hochzeitsfotografie produziere ich visuell ansprechende Bilder, die eure Liebe und die Freude eurer Gäste darstellen.

  • KMU Image Video

    Exklusive Brautmode nach Mass von Denise Imhof

  • Wedding Lucerne Cham Zug Video

    Hochzeits Getting Ready im Hotel des Balances in Luzern
    Hochzeitszeremonie in der Villa-Villette in Cham